Réglage des voiles : l'essentiel à connaître sur la chute de la voile
1De même, l’utilisation des différentes voiles dépend en grande partie de leur coupe. Si le maître voilier a coupé une voile très plate, mieux vaut remonter au près. A l’inverse, un spi très creux ne peut pas comprimer le vent.
Comment Greer un dériveur ?
Préparez la voile
- Placez l’appareil sur une surface plane et vérifiez qu’aucune pièce ne manque. A voir aussi : TUTO VOILIER : Première navigation ? + 1 super astuce navigation en solo.
- Déroulez la voile.
- Enfilez le bas du mât et le haut du mât dans l’arbre, les deux flèches doivent être alignées.
- Faites coulisser la voile sur le mât, le point d’amure doit se trouver dans l’axe des flèches et du col de cygne.
Quelle voile hisser en premier ? On commence généralement par hisser la grand-voile car on peut alors naviguer face au vent en utilisant le moteur sans ralentir le bateau (ce qui n’est pas le cas du génois). Aujourd’hui, la grande majorité des voiliers de croisière sont équipés d’emmagasineurs de génois.
Comment Greer un bateau ?
Choisissez le côté envoi du spi puis écartez les cloisons de foc de l’autre côté. Une des méthodes pour gréer le spi est de le faire dans cet ordre. Sur le même sujet : Voilier sous la pluie ?! Elles découvrent la voile le mauvais jour … Voilier Coraille.
Comment Greer un spi asymétrique ?
On commence par secouer doucement le spi pour amener le bout de pale au niveau de l’étai. On en vient pas mal à le choquer en reprenant rapidement la contre-écoute. Puis nous passons la grand-voile de l’autre côté. Le jibe est terminé.
Quelle voile hisser en premier ?
Habituellement, nous commençons par hisser la grand-voile puis la voile d’avant. Pour cette première manœuvre il est préférable d’avoir quelqu’un à la barre qui sache garder un cap, soit capable de voir si tout est en ordre à hauteur de voile et en même temps garde le vent dans les voiles.
Comment Greer Grand-voile ?
Dans ce cas, il est indispensable d’installer une boucle pour fixer la bôme et la grand-voile. On utilise ici une sangle avec velcro, très efficace. Sur le même sujet : Comment remonter le vent avec un voilier ?. Une fois le point de carre correctement installé, nous pouvons nous attaquer au passage des bosses de récif.
Comment mettre les voiles sur un voilier ?
Il n’est pas nécessaire de dérouler toute la voile pour saisir l’étrave, un bon mètre suffit. Attention aux torsions possibles entre le point d’amure et la tête. Assurez-vous que la limite entre ces deux points est droite pour éviter les tracas.
Quelle voile hisser en premier ?
Habituellement, nous commençons par hisser la grand-voile puis la voile d’avant. Pour cette première manœuvre il est préférable d’avoir quelqu’un à la barre qui sache garder un cap, soit capable de voir si tout est en ordre à hauteur de voile et en même temps garde le vent dans les voiles.
Comment installer une ligne de vie sur un voilier ?
On va donc essayer d’installer la ligne de vie au plus près de l’axe du bateau. Il sera tendu pour ne pas flotter au vent ou donner du mou à la chute. Mais pas trop serré non plus, sinon vous ne pourriez pas faire passer les mousquetons. Il n’est pas non plus nécessaire de l’amener à la proue.
Pourquoi border une voile ?
On règle une voile en prenant la tension de la voile. Par exemple, « Borde le foc » revient à tirer – souvent avec un treuil – sur l’écoute de foc. Attention, nous ne laissons pas de pièges en laisse ! Cette manœuvre sert en effet à hisser la voile (et non à la régler).
Quand régler la voile ? Lors d’un changement de cap, l’équipage doit abaisser les voiles simultanément afin qu’il y ait encore du mou dans les écoutes une fois que le bateau s’est éloigné du vent (le barreur dévie). A l’inverse, ils doivent les border au fur et à mesure que le bateau se rapproche du vent (le barreur lofe).
Qu’est-ce qu’un ris en voile ?
La prise de ris (verbes associés : « prise de ris » ou « hisser une voile ») consiste à réduire la surface d’une voile en la pliant partiellement : le but est d’adapter la surface de la voile à la force du vent lorsqu’il décroche en haut.
Comment prendre un ris sur un voilier ?
On prend généralement un ris avec une vitesse proche du vent. On détend l’écoute et on raccroche pour laisser le vent s’échapper et on la resserre plus tard sans résistance. Puis on effraie la trappe pour abaisser la voile.
Quand prendre un ris sur un catamaran ?
Sur la plupart de nos multicoques de croisière, le premier ris est pris autour de 20 nœuds de vent réel.
Comment vriller une voile ?
C’est principalement le chariot de grand-voile qui contrôle le pas général de la grand-voile, tandis que l’écoute contrôle le virage de la voile. Sur la même allure : lorsqu’on bat l’écoute, on tourne la voile en ouvrant la chute et inversement. Lorsque le chariot est secoué, l’impact est réduit et vice versa.
Comment naviguer avec une voile ?
Généralement il y a un taquet à la base du mât pour attacher les cordages. Tordez la drisse de grand-voile autour du taquet. Hisser le foc à l’aide de la drisse de foc ou d’une autre voile d’avant comme le génois puis attacher la drisse. Les deux voiles battront librement.
Comment border une voile ?
– descendre l’écoute jusqu’à ce que l’angle d’écoute soit au niveau des haubans. – adoucir le tombé et le bord pour ramener le creux au centre de la voile. – si la bôme a tendance à osciller de haut en bas, augmenter très légèrement le mouvement de descente pour limiter ce mouvement et stabiliser la voile.
Comment éviter un départ au lof ?
La solution est d’abaisser la grand-voile et le hale-bas et de « pomper » sur la barre franche pour emporter. Lorsque le bateau décolle, assurez-vous de compenser rapidement à la barre et à l’écoute, sinon vous allez tanguer en sens inverse.
Pourquoi un bateau part au lof ?
Un voilier a une tendance naturelle, lorsque sa vitesse augmente, à lâcher « coup droit » ou « auloffée », c’est-à-dire à aller contre le vent. On dit alors qu’il est « fougueux ».
Pourquoi faire un empannage ?
Comme pour le amure, les voiles vont donc changer de côté. Lors d’un empannage, le vent va rattraper la grand-voile par derrière et accélérer le passage de la bôme de part en part, parfois violemment. Tout l’art du jibe est donc de maîtriser et pallier ce pas en toute sécurité.
Quand mettre le spi voile ?
Le spi est utilisé dans des conditions de portant et contrairement aux autres voiles d’avant, le spi n’est pas attaché à l’étai. Il existe deux types de spi : symétrique (qui nécessite un tangon pour le tenir) et asymétrique (qui ne nécessite pas de tangon).
Quand utilise-t-on le gennaker ? Le gennaker : Cette voile se situe entre le génois et le spi. Il a une surface intermédiaire entre les deux bandes, en nylon ou polyester, de poids assez lourd, pour une meilleure stabilité de forme. La plage de fonctionnement est en moyenne comprise entre 60° et 120° de vent réel.
Comment utiliser un spi asymétrique ?
L’utilisation du spinnaker asy ne nécessite pas de bôme de spinnaker. Le point d’amure du spi asymétrique est maintenu par un beaupré attaché à la proue du bateau. Dans certains cas il peut être maintenu par un tack pad fixé autour de l’étai, génois enroulé. La différence avec le spi symétrique réside dans l’utilisation.
Comment utiliser le spi ?
Il est utilisé par vent arrière. Contrairement aux autres voiles d’avant, le spinnaker n’est pas attaché à l’étai. Le spi symétrique est utilisé avec un bras appelé tangon qui tient la voile.
Comment bien régler un spi asymetrique ?
On commence par secouer doucement le spi pour amener le bout de pale au niveau de l’étai. On en vient pas mal à le choquer en reprenant rapidement la contre-écoute. Puis nous passons la grand-voile de l’autre côté. Le jibe est terminé.
Comment bien régler un spi asymetrique ?
On commence par secouer doucement le spi pour amener le bout de pale au niveau de l’étai. On en vient pas mal à le choquer en reprenant rapidement la contre-écoute. Puis nous passons la grand-voile de l’autre côté. Le jibe est terminé.
Comment ne pas partir au lof ?
La solution est d’abaisser la grand-voile et le hale-bas et de « pomper » sur la barre franche pour emporter. Lorsque le bateau décolle, veillez à compenser rapidement à la barre et à l’écoute sinon vous allez tanguer en sens inverse.
Comment installer un bout-dehors ?
L’installation est facile. Le beaupré passe par un anneau installé à la proue sous le tambour d’enroulement et l’arrière du beaupré est verrouillé dans une cadène. Au repos, le beaupré peut être repoussé et verrouillé dans une seconde cadène.
Comment utiliser le spi ?
Il est utilisé par vent arrière. Contrairement aux autres voiles d’avant, le spinnaker n’est pas attaché à l’étai. Le spi symétrique est utilisé avec un bras appelé tangon qui retient la voile.
Comment utiliser un spi ?
1- Placez-vous entre l’amplitude principale et le vent de face, puis levez la bôme de spi à l’aide du relevage supérieur à environ 90° du mât. 2- Pré-ombrager pour que le tangon ne touche plus l’étai. Prenez l’attrape poteau. 3- hisser le spi en tête à l’aide de la drisse.
Quand prendre un ris ?
En général, vous commencerez à réduire le génois vers 15 nœuds de vent, du moins lorsque vous naviguez au près ou au près. Vous prenez le premier renflement de ris dans la grand-voile autour de 20 nœuds, puis vous redescendez le génois et prévoyez de prendre un second ris autour de 25 nœuds établis.
Pourquoi un bateau est-il bas ? Un voilier a une tendance naturelle, à mesure que sa vitesse augmente, à lâcher « coup droit » ou « auloffée », c’est-à-dire à aller contre le vent. On dit alors qu’il est « fougueux ».
Qu’est-ce qu’un ris en voile ?
La prise de ris (verbes associés : « prise de ris » ou « hisser une voile ») consiste à réduire la surface d’une voile en la pliant partiellement : le but est d’adapter la surface de la voile à la force du vent lorsqu’il décroche en haut.
Comment prendre un ris sur un voilier ?
On prend généralement un ris avec une vitesse proche du vent. On détend l’écoute et on raccroche pour laisser le vent s’échapper et on la resserre plus tard sans résistance. Puis on effraie la trappe pour abaisser la voile.
Quand prendre un ris sur un catamaran ?
Sur la plupart de nos multicoques de croisière, le premier ris est pris autour de 20 nœuds de vent réel.
Comment installer une bosse de ris ?
La bosse du deuxième ris sort de la bôme, passe par le chas du ris monté sur une rame puis par un guide sur le mât (le guide du premier ris est visible, légèrement plus bas, à tribord). Il faut envisager de placer des disques tournants supplémentaires en pied de mât pour le passage des bosses de ris.
Comment prendre un ris ?
On prend généralement un ris avec une vitesse proche du vent. On détend l’écoute et on raccroche pour laisser le vent s’échapper et on la resserre plus tard sans résistance. Puis on effraie la trappe pour abaisser la voile.
Comment prendre un ris automatique ?
Lorsque vous avez affalé la grand-voile jusqu’au ris souhaité, enfilez l’anneau de tacker dans le crochet, au point d’amure. Avec la voile tenue par l’oeil, vous pouvez d’abord tendre la drisse de grand-voile puis la bosse de ris. La voile doit être correctement réglée immédiatement.
Quand prendre des ris ?
Lorsque le vent se lève et que le bateau commence à trop dépasser son safran et sa gîte, la navigation devient vite inconfortable, surtout en croisière. Le premier réflexe est de rétrécir la toile, d’inclure un ris dans la grand-voile ou de replier la voile d’avant.
Comment prendre un ris au portant ?
Naviguer avec le vent Ici, Salvatore nous a donné la solution : il suffit de le fermer pour relâcher la pression. Il faut donc ramener la bôme au centre du bateau, sur le bord du jibe et bien faire toutes les manœuvres pour que rien ne bouge : l’écoute, le relevage de bôme, le frein de bôme.
Sources :